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mardi 16 juin 2009

AU PLUS PRES DES ANIMAUX ET DE LA NATURE



Fin juin 2020, un pigeon nous rend visite près de la fenêtre du bureau


Dans la soirée du 18 Juin 2018, au crépuscule, un petit lièvre s'est égaré près de la véranda. Il n'avait pas l'air en très bonne santé. Il a parcouru la grande allée de la maison puis s'est retrouvé près de la serre pour ensuite rejoindre les champs derrière notre jardin.
Les papillons aiment la véranda le soir quand il fait chaud.
Papillon de nuit pendant la canicule de juin 2017

Une femelle de lézard vert a franchi la porte entre la véranda et la cuisine pour venir se rafraîchir pendant la canicule - espèce lacerta bilinieta occidentalis
Février 2017 - Un soir de cet hiver, mon mari a trouvé, en fermant ses volets, une salamandre. Cet amphibien gros comme un lézard vert était noir avec des tâches jaunes. Il ne bougeait pas et faisait des bulles sur les pierres ardoises. (était-il sorti de son hibernation ?). Nous, nous étions surpris et ravis en même temps car c'est très rare d'en rencontrer dans nos régions. On dit que c'est un signe que notre terrain est sain : sans pesticides.

Un pigeon voyageur bagué aux deux pattes est venu ce printemps 2015 nous rendre visite dans la véranda.

Mars 2014 : depuis quelques temps, une grive musicienne a élu domicile dans notre jardin. Elle s'empresse de confectionner un nid avec des herbes en haut du majestueux sapin situé devant la véranda.

Un petit hérisson se tapit parmi les herbes en juin 2013.


Une petite reinette verte fait la causette avec une mouche (juin 2013).


Un lézard vert effectue sa mue au fond d'un pot en terre. 

Le lézard vert (Lacerta bilineata) long de 40 cm est le plus grand lézard présent dans toute la France (sauf au nord de la Seine et en Corse. A sa livrée d'un vert intense s'ajoute chez les mâles une gorge bleu vif. Vorace, il se nourrit d'arthropodes, d'insectes, de lombrics, d'œufs d'oiseaux, voire de lézards à l'occasion. Gare aux doigts si on le manipule ! sa morsure n'est pas venimeuse mais fort douloureuse.
 
Un lézard vert sort dans les premiers rayons de soleil du printemps.ci-dessus
Le lézard vert muent toutes les six semaines pour les jeunes, moins fréquemment ensuite. Il perd sont exuvie (vieille peau) morceau par morceau pour retrouver une robe brillante qui le protège entre autres contre la déshydratation.


L'espèce est cependant menacée par la fragilisation de son biotope. Ses habitats se raréfient en raison de la disparition des talus empierrés.





Si on le manipule, il convient de prendre garde à ne pas toucher sa queue car il risquerait par un réflexe d'autodéfense de s'en séparer.

Une femelle lézard vert pond des oeufs dans la terre du jardin en juin 2012. (ci-dessus et ci-dessous).




ci-dessous : un lézard perd son exuvie.


Le pic-épeiche se régale des boules de graisse.





C'est l'hiver, il gèle, c'est le moment de nourrir les oiseaux. J'ai installé des supports pour  boules de graisse dans certaines branches d'arbre du jardin. En haut, un pic-épeiche est venu partager la pitance des mésanges bleues et charbonnières. L'hiver n'est pas, bien sûr, la saison idéale pour les oiseaux mais en installant des mangeoires, c'est l'occasion unique de les observer. Le pic-épeiche est un bel oiseau avec une calotte et des sous-caudales rouge vif : la photo à travers la vitre n'est pas géniale (en haut) mais le pic-épeiche est très agité et à l'inverse de ses congénères mésanges, il s'envole dès le moindre mouvement.


Le merle noir se contente des graines et miettes de pain  jetées au sol mais au mois de juin, pas besoin de miettes de pain, lui et ses congénères s'occuperont activement des cerises de nos deux cerisiers. 

A travers la fenêtre, nous assistons à un joli ballet car les mésanges s'en donnent à coeur joie autour de la boule de graisse.
 
Acrobates, les mésanges se tiennent même suspendues la tête en bas : c'est un spectacle...
Toujours solitaire mais très familier en hiver, le rouge gorge est à la recherche de graines.




Papillon sur une branche de sapin


Poissons rouges dans le bassin asséché de l'été 2010.

Une libellule nous rend visite en juin 2009 dans la véranda

Août 2010 : un petit hérisson fait ses premiers pas dans l'allée du jardin : un peu château branlant.

Dès les premiers rayons du soleil, les lézards envahissent la terrasse et... la véranda !


Un insecte s'est posé sur une pivoine arbustive en Juin 2010.

En fin d'été, une grosse sauterelle verte saute dans le creux de ma main.


De falbalas en fanfreluches

Libre service des couleurs
Le printemps flotte autour des ruches
En écharpe de mille couleurs

L.G.-M.




Les ruches dans le fond du potager pendant l'été 1993.
Lucien et sa ruche : AU BON MIEL !
Une chouette chevêche prise dans les filets du jardin pendant un hiver dans les années 80.

Les faisans nous rendent visite régulièrement (élevage à proximité) et celui-ci s'aventure près de la véranda.
Les cèpes dans le jardin à l'automne (certaines années, nous avons une bonne récolte !)
Nous avons mis de nombreux nichoirs dans les arbres ( celui-ci est dans le laurier) et de nombreux oiseaux et volatiles viennent nicher ou simplement nous rendre visite (canards, faisans, tourterelles, mésanges, chardonnerets, rouge-gorges, pinsons, etc...) nous avons même vu une saison, sur la pelouse, un couple d'huppes faciées.





L'huppe tire son nom du plumeau érectile qui se dresse sur sa tête et faciée parce que son dos et ses ailes sont rayés de noir et de blanc. Unique représentant des upupidés en France et en Europe, c'est une jolie visiteuse d'étén utile car elle détruit un grand nombre de larves et d'insectes mais, dommage pendant la nidfication, la femelle entretient son plumage avec une secrétion d' une odeur pestilentielle et celà a l'avantage d'éloigner les prédateurs !

Un nid de rouge-gorges, au printemps 2010, dans un vieux panier en osier.







  

La nuit, c'est la ronde folle des lièvres...le parc est à eux.
Dans la nuit la ronde des lièvres


Octave notre petit chat chéri

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